Pourquoi faut-il un changement ?
Une gouvernance de l’Université de Paris floue et peu efficace :
Création de trois facultés qui cachent les originalités, spécificités et visibilité de certaines disciplines, formations ou métiers (Faculté de Droit, Faculté de Pharmacie, Ecole d’Ingénieur, IUT, Langues…).
Nomination des Doyens : recul de la démocratie universitaire.
Multiplication des conseils (105 conseils, >3600 élus), des commissions et comités ad-hoc composés de nommés…
Chevauchement des prérogatives entre les conseils (CA-Sénat), (Sénat-conseils-facultaires-CAC), (Conseils facultaires-conseils UFR) : arbitrage présidentiel, ralentissement des décisions/actions
Confusion des rôles des Facultés par rapport aux UFRs : risques de blocages et de conflits.
Evaluation summary | Grades | |
Research, education and innovation | 1. Research excellence | A |
2. Teaching excellence | A | |
3. Innovation | B | |
Institutional transformation | 4. Target university | A |
5. Campus and student life | B | |
6. International visibility | B | |
Change management | 7. HR policy | B |
8. Partnerships (academic, NROs, business) | B | |
9. Governance and project management | B |
Un projet IDEX perçu d’une manière mitigée par le jury international.
Saupoudrage de l’IDEX sur une multitude d’appels d’offres avec peu de crédits affectés à chacun.
Pas de transparence dans la gestion de l’IDEX 1 et démarrage poussif de l’IDEX 2 (Chaires environnées attribuées sans appel d’offres en 2018).
Peu de participation de la communauté dans la définition des objectifs et la conception de ce projet.