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Charbel Massaad
CANDIDAT À LA PRÉSIDENCE DE 
L’UNIVERSIT
É PARIS CITÉ

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CHARBEL MASSAAD

CANDIDAT À LA PRÉSIDENCE DE L’UNIVERSITÉ PARIS CITÉ

 

Redonner l’envie d’université, c’est l’ambition de notre équipe pour l’ensemble des personnes et des parties prenantes qui vivent au quotidien l’Université Paris Cité.

En tant que centre de vie intellectuelle, l’université doit prendre part à la résolution des enjeux au niveau environnemental, sanitaire, social, géopolitique et économique dont le monde a pris conscience. Il lui suffit de renouer avec ses missions essentielles : promouvoir la recherche du savoir et le diffuser, stimuler la créativité et l’esprit critiqueconsolider l’ouverture à la société pour contribuer à la culture humaniste et retrouver sa véritable place au cœur de la Cité.

Notre université est un bien commun ; tous ensemble, il nous faut, en assurer l’essor et la protéger du déclin.  Le projet que nous portons est conçu pour que chacun, étudiant, enseignant, chercheur, personnel technique et administratif, y trouve sa place et se réapproprie le sentiment de fierté d’appartenance dont il a été dépossédé.

Le programme que nous proposons est fondé sur quatre principes : la proximité, la transparence, la simplicité et la clarté.

Agir au plus près pour voir plus loin : les structures organisationnelles et administratives sont aujourd’hui trop confuses en raison d’un processus de fusion d’universités qui a été bâclé et conduit sans concertation. Les « mille-feuilles » organisationnels ont révélé leur inefficacité et chacun d’entre nous subit aujourd’hui les effets délétères de ce désordre. La gouvernance devra gagner en transparence, en clarté et en simplicité. Elle devra remettre la stratégie au centre des décisions qui seront elles-mêmes le reflet des besoins exprimés par les acteurs de terrain. Progressivement et dans un souci permanent d’équité, nous engagerons les indispensables réformes de gouvernance.

Ce projet est également motivé par une volonté forte de restaurer la qualité de vie au travail en évitant les écueils des expériences passées. 

Accompagner, faciliter, promouvoir l’élaboration et la transmission des savoirs sont nos objectifs. L’Université Paris Cité dispose d’un potentiel interdisciplinaire incomparable. Notre université rassemble en effet un large ensemble de disciplines, dont la grande qualité est reconnue en France et à l’étranger, comme en témoignent le rayonnement de ses laboratoires de recherche et l’attractivité de ses formations. Valorisons ce patrimoine et ce vivier en garantissant un cadre de travail propice, en développant les potentiels, en améliorant encore la visibilité de nos Licences, Masters et Doctorats.

Dans le respect de la diversité, l’Université Paris Cité diffusera la culture universaliste et la pensée française et européenne à travers le monde, en défendant des valeurs humanistes. Notre université formera et accompagnera les étudiants, de tous les âges, en favorisant l’égalité des chances. L’apprentissage n’a pas d’âge !

En promouvant les innovations pédagogiques, notre université développera des formations accessibles et interdisciplinaires, tournées vers les métiers d’aujourd’hui et de demain. L’université Paris Cité doit redevenir un tremplin pour les nombreux talents et un lieu où tous les agents peuvent s’épanouir. Notre université sera un lieu d’émulation pour que les inventeurs, qu’ils soient étudiants ou chercheurs, puissent innover et repousser les limites de la connaissance. Notre projet s’attache à conjuguer attractivité, fierté d’appartenance et fidélité.

« Envies d’Université » est notre engagement, notre défi commun, c’est redonner des envies de rebâtir et de faire vivre une université attractive !

Je m’engage avec les équipes élues à réaliser, avec vous et en concertation avec vous, ce programme.

Je reste à votre écoute.

CHARBEL MASSAAD
CANDIDAT À LA PRÉSIDENCE DE L’UNIVERSITÉ PARIS CITE

Biographie

Charbel Massaad (51 ans) est titulaire d’un doctorat de Biologie Moléculaire de l’Université Paris-Saclay. Il a été nommé Maître de Conférences à la Faculté de Médecine du Kremlin Bicêtre où il a développé un projet de recherche en neuro-endocrinologie.

Depuis septembre 2006, il est Professeur de Biochimie à l’Université Paris Descartes puis Paris Cité. Il est aussi professeur associé à Hangzhou Dianzi University (Hangzhou, Chine) et Adjunct Professor à l’American University of Beirut. Il anime une équipe de recherche à l’UMR INSERM 1124 qui travaille sur la formation des gaines de myéline autour des axones et la mise en place de nouveaux traitements des pathologies de la myéline (sclérose en plaques, complications diabétiques du nerf…).

Il a dirigé l’UFR des Sciences Fondamentales et Biomédicales de 2011 à 2021. Cette UFR propose des formations transdisciplinaire et orientées vers la santé. Elle comprend des équipes de recherche du CNRS ou de l’INSERM travaillant en physique, chimie, mathématiques, ergonomie, sciences cognitives et biologie orientées vers la Santé.

Charbel MASSAAD a noué des interactions solides entre l’UFR des Sciences Biomédicales et plusieurs écoles d’Ingénieurs à Paris, en province et à l’étranger. Il a aussi tissé plusieurs partenariats avec le monde socio-économique et culturel.

Charbel MASSAAD a développé aussi plusieurs accords internationaux permettant, entre autres, de délivrer des diplômes de thèse en co-tutelle, un master commun avec une université chinoise, et des programmes d’échanges d’étudiants et d’enseignants avec plusieurs universités européennes et internationales.

Charbel MASSAAD a mené la liste Changeons Pour Réussir aux élections de 2019. Il a été élu avec une vingtaine de ces co-listiers dans les différents conseils de l’Université Paris Cité. En tant que membre élu au Conseil d’Administration, il a suivi la construction de notre université et a identifié les difficultés et dangers de la poursuite de la politique actuelle.

Enfin, Charbel MASSAAD se pose aujourd’hui en principal témoin et acteur des changements qu’il juge indispensables afin de faire entrer l’Université Paris Cité dans le monde de demain.

Son analyse, son expertise et sa vision font de ses réflexions et de son engagement les gages de la réussite.

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Valérie Serre
CANDIDATE AU POSTE DE DOYEN DE LA FACULTÉ DES SCIENCES


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Valérie Serre

CANDIDATE AU POSTE DE DOYEN DE LA FACULTÉ DES SCIENCES

 

Pourquoi m’engager dans « Envies d’Université » ?

J’ai choisi de m’engager après avoir fait le constat de la dégradation générale des conditions de travail des étudiants et des personnels de l’Université Le bilan des dernières années n’est pas à la hauteur des attentes des étudiants et des personnels ni à celle des enjeux nationaux et internationaux. La Faculté qui s’est mise en place consiste en une strate administrative supplémentaire, alourdissant les processus, rendant les calendriers des différentes campagnes intenables et par là même altérant la qualité de vie au travail des personnels.
Je souhaite que la Faculté cesse de s’immiscer dans la gestion interne des composantes et se recentre sur son rôle, le pilotage stratégique, qu’elle n’a pas assuré jusqu’à présent.

Les fondements du programme « Envies d’Université » sont la proximité, la transparence, la clarté et la créativité. C’est la mise en œuvre de ce programme qui permettra les réformes de gouvernance indispensables pour une Université avant-gardiste, attractive et rayonnante, pour des Facultés menant une stratégie ambitieuse en Recherche et en Formation, et pour des composantes fortes et flexibles au cœur de la création et de la diffusion du savoir.

La Faculté des Sciences mènera une politique ambitieuse et éthique en Recherche et en Formation. Elle définira ses objectifs stratégiques en étroite concertation avec les composantes et Instituts. Elle favorisera la créativité, l’interdisciplinarité et la transdisciplinarité afin de répondre aux enjeux de demain. Elle fera le lien entre ses composantes et celles des Facultés de Sociétés et Humanités, de Santé, et l’IPGP. La convention de partenariat avec l’Institut Pasteur devra être optimisée.

Les grands enjeux d’aujourd’hui ne peuvent plus être abordés par le prisme d’une seule discipline mais au moyen d’étroites interactions interdisciplinaires.
La Faculté des Sciences sera un socle solide pour les laboratoires de recherche de ses composantes. Elle assurera l’essor et la modernisation des plateformes de recherche, très importantes pour la concrétisation des projets de recherche, le développement et les liens entre les laboratoires.

La Faculté des Sciences doit aussi s’intégrer dans l’écosystème de l’innovation de l’Université et soutenir une politique active de partenariat éthique avec des entreprises.

Nos étudiants doivent être accompagnés vers le monde professionnel en accédant à une offre de formation de qualité, innovante, diversifiée, soutenable, et adossée à la recherche de nos laboratoires. La Faculté des Sciences travaillera en concertation avec ses composantes et Instituts sur la lisibilité et la visibilité des différentes formations.

L’équipe décanale devra s’atteler, de façon collégiale, bienveillante et transparente, à la construction d’une Faculté de proximité, attentive à sa communauté, attentive aux conditions de travail et à l’accompagnement de ses personnels, mais aussi attentive aux conditions d’études et à la réussite de ses étudiantes et étudiants.

Les missions de la Faculté s’inscriront dans le cadre du rayonnement de l’Université, en concertation avec l’équipe présidentielle. La Faculté mettra en œuvre le projet d’établissement en tenant compte des spécificités et des attentes de sa communauté.

Redonnons ensemble l’envie d’Université.

Valérie Serre
Candidate pour la Faculté des Sciences

Biographie

La formation initiale de Valérie Serre (54 ans) s’est inscrite dans le domaine de la biochimie des protéines et de l’enzymologie.
Après un Doctorat de Biologie Cellulaire et Moléculaire de Sorbonne Université obtenu en 1998, elle est recrutée en 1999 à l’Université Paris Diderot comme Maître de Conférences.
Valérie Serre est nommée Professeur en 2016.
Tout en s’appuyant sur son socle de compétences, elle a souhaité en acquérir de nouvelles tout au long de sa carrière en développant ses thématiques de recherche dans le domaine de la pathologie moléculaire.
Elle effectue actuellement ses travaux de recherche à l’Institut Jacques Monod (UMR CNRS 7592 – UPCité) et est cosignataire de 66 publications avec comité de lecture.
Investie, depuis de nombreuses années, dans la vie de la composante – membre élue du Conseil Scientifique, coordinatrice pour les échanges Erasmus+, Correspondante Relations Internationales, membre élue du Conseil d’Enseignement et présidente de la commission Ressources humaines / Enseignement – elle a été élue le 3 octobre 2019 Directrice de l’UFR Sciences du Vivant.

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Luc Mouthon
CANDIDAT AU POSTE DE DOYEN DE LA FACULTÉ DE SANTÉ


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Luc Mouthon

CANDIDAT AU POSTE DE DOYEN DE LA FACULTÉ DE SANTÉ

 

Cher(e)s Collègues,
En tant que doyen de la Faculté de Santé, mon action consistera dans un premier temps à définir clairement les prérogatives du doyen de Santé par rapport aux doyens de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie, en concertation avec ces derniers. Cette clarification permettra d’assurer la complémentarité des rôles respectifs de la faculté de Santé et des trois UFR précitées. L’Université Paris Cité retrouvera ainsi un fonctionnement cohérent. La Faculté de Santé facilitera et accompagnera l’action des trois UFR plutôt que de s’immiscer dans leur gestion quotidienne.
La Faculté de Santé se recentrera ainsi sur la stratégie scientifique de l’Université Paris Cité pour mener des grands défis interdisciplinaires.
Notre engagement consistera à renforcer les moyens humains de gestion des trois UFR de Médecine, Pharmacie et Odontologie de façon à les rendre plus agiles. Les diplômes et les équipes de recherches seront mieux suivis par l’administration locale pour soulager les enseignants-chercheurs des tâches de gestion. Nous accompagnerons la poursuite de la fusion des UFR de Médecine et d’Odontologie, en apaisant les tensions générées par les restructurations multiples.
Nous nous engageons à augmenter les financements des UFR et des instituts de recherche. Au lieu de multiplier les appels d’offre épuisants de l’IdEx, nous envisageons de doter financièrement les UFR pour qu’elles puissent organiser elles-mêmes le financement de la recherche et formation.
Nous veillerons à promouvoir l’attractivité de la carrière hospitalo-universitaire, alors même que le statut hospitalo-Universitaire est le grand oublié du Ségur de la Santé.
Nous aiderons à structurer la recherche en odontologie en favorisant la formation d’une UMR, avec notre partenaire l’INSERM. Nous œuvrerons aussi pour permettre une recherche interdisciplinaire autour de l’odontologie avec les sciences dures et les sciences humaines. Ceci est essentiel pour augmenter l’attractivité de notre UFR d’Odontologie et accélérera indéniablement le développement de thérapeutiques innovantes. Nous veillerons à ce que l’installation de l’UFR d’Odontologie se fasse rapidement et sereinement sur le campus hospitalo-universitaire Grand Paris Nord Saint-Ouen, au moyen d’un travail renforcé avec l’AP-HP sur le déroulement des travaux (respect du calendrier et du programme). Entre-temps, le site Garancière devra être réhabilité pour accueillir décemment le public.
Avec l’UFR de pharmacie, nous veillerons à augmenter l’attractivité des études de pharmacie en travaillant sur une LAS dédiée aux études pharmaceutiques. La recherche interdisciplinaire des laboratoires de l’UFR de Pharmacie sera promue et accompagnée grâce aux moyens de l’IdEx. Nous devrons accompagner l’UFR de Pharmacie dans la rénovation de ses bâtiments pour un meilleur accueil de ses formations et de ses laboratoires.
Fort de mon expérience dans la mise en place de plateformes numériques nationales pour les étudiants en médecine du second et du troisième cycle en coordination avec l’UNESS, je proposerai la mise en place de plateformes pilotes pour les autres UFR, la maïeutique et les IFSI qui pourront être reprises à l’échelle nationale. Notre université doit redevenir un leader dans les propositions de réformes nationales de la santé.
La médecine évolue et la place du numérique augmente avec l’avènement des robots, des dispositifs médicaux et un développement important de l’intelligence artificielle et du Metavers. L’ingénierie devient incontournable dans l’environnement du médecin. Nous mettrons en place, en partenariat avec une école d’ingénieur reconnue, un double cursus intégré de médecine et d’ingénierie. Cette formation inédite et avant-gardiste formera des ingénieurs médecins qui appréhenderont les évolutions technologiques en santé. Cette formation pourra être déclinée en pharmacie et odontologie.
Les Instituts Hors Murs (IHM) doivent s’étendre aux autres facultés, Sciences et SH, pour permettre des approches et des réponses interdisciplinaires aux questions complexes. En tant que directeur de l’IHM d’Immunologie et d’Immunopathologie, j’ai été surpris par la faiblesse des financements alloués, rendant leurs actions et leur développement très limités. Nous allons augmenter significativement ces financements par l’Idex sur une durée limitée. Ces financements permettront de structurer des plateformes communes, d’augmenter la visibilité de nos équipes, puis d’accompagner les communautés impliquées pour soumettre des projets à des appels d’offre comme France 2030, PiA4 et les grands consortiums Européens.

Je m’investirai pleinement dans l’universitarisation des professions de santé, en particulier la maïeutique qui est en grande mutation et les soins infirmiers. Les hôpitaux de notre université ont un besoin crucial de recruter des infirmier(e)s. Nous porterons une attention toute particulière à soutenir et accompagner les IFSI partenaires.
Dans toutes les formations en santé, fort de mon expérience au Centre national d’Appui des étudiants en santé (CNAES) et dans les missions « deuxième et troisième cycle des études médicales », je veillerai à promouvoir la qualité de vie des étudiants en santé.
En outre, nous subissons une désorganisation de la formation continue dans nos UFR et une baisse importante des inscriptions. Ceci est très préjudiciable pour la formation continue des soignants. Nous nous emploierons par conséquent à structurer la formation continue en recrutant des gestionnaires et en améliorant le fonctionnement des Diplômes Universitaires.
Notre engagement s’attachera à promouvoir l’interdisciplinarité, une force majeure pour une grande université comme la nôtre. Les échanges renforcés entre les UFR de la Faculté de santé et les UFR des Facultés des Sciences et de Sociétés et Humanités contribueront à apporter des solutions aux grands enjeux sociétaux. L’approche interdisciplinaire est la clef pour la résolution des problèmes complexes. La Santé a absolument besoin des Sciences et des Humanités pour évoluer.
Conjuguons nos forces au service du Savoir, de l’Humanisme et de la Santé ! Redonnons l’Envie d’Université.

Bien Cordialement
Luc Mouthon

Biographie

J’ai 59 ans. J’ai été MCU-PH en Immunologie Clinique à l’hôpital Avicenne à Bobigny et à l’Université Paris 13, puis je suis arrivé à l’hôpital Cochin et j’ai été nommé PU-PH en médecine interne à l’Université Paris Descartes en 2004, au moment de la fusion des facultés de Médecine Broussais-Hôtel Dieu, Cochin et Necker. J’étais alors en charge de la coordination de l’enseignement de la sémiologie et de la commission de docimologie.

J’ai développé une activité de recherche translationnelle portant sur les maladies autoimmunes vasculaires rares et dirigé une équipe d’accueil de l’Université puis co-dirigé une équipe INSERM intitulée « neutrophiles et vascularites » de 2010 à 2018 au sein de l’Institut Cochin. Depuis 2011, je suis co-responsable du Master 2 inflammation et maladies inflammatoires et depuis 2015 je suis co-directeur du Labex Inflamex. Je coordonne depuis 2014 le centre de référence des maladies systémiques autoimmunes rares d’Ile de France et depuis 2019, je suis Chef du service de Médecine interne à l’hôpital Cochin.

J’ai présidé de 2015 à 2022 le Groupe Francophone de Recherche sur la Sclérodermie (GFRS). Depuis octobre 2022 je co-dirige l’Institut hors les murs d’Immunologie et Immunopathologie. Je suis (co)-auteur de plus de 600 publications dans des revues internationales à comité de lecture avec un Facteur H à 94 (Google Scholar). Je suis coordonnateur du DES de médecine interne et immunologie clinique en Ile de France depuis 2013 et président du Collège National des Enseignants de Médecine Interne (CEMI). Je suis président de la Société Nationale Française de Médecine Interne (SNFMI).

J’ai mis en place en 2015 la Coordination Nationale des Collèges d’enseignants en Médecine (CNCEM) (https://cncem.org) qui regroupe 65 collèges d’enseignants en médecine, sous l’égide de la Conférence Nationale des doyens de Médecine et du CNU santé, ce qui m’a permis d’interagir avec les enseignants de médecine, pharmacie, odontologie et sciences humaines et sociales qui enseignent dans les facultés de médecine, de m’impliquer de façon très active à la conception et à la mise en place des réformes du second cycle (en particulier coordination de la plateforme d’apprentissage LiSA) et du troisième cycle des études médicales et de participer aux réunions de la conférence nationale des doyens. Je suis membre du Comité de Suivi Opérationnel de l’Université Numérique en Santé et en Sport (UNESS.fr) et du Comité des parties prenantes du Centre national d’Appui des étudiants en santé (CNAES).

Je suis membre du comité de suivi de la réforme du second cycle et missionné avec le Pr Pierre Clavelou par la DGOS et la DGESIP pour coordonner le suivi de l’enseignement du troisième cycle des études médicales.

M